Pas de béni oui-oui.Pas d’approbation par réflexe. Stop à la flatterie. C’est toxique pour tout le monde.
LIBÉREZ LE DIRCOM! Laissez-le dire ce qu’il sait, ce qu’il pense, ce qu’il voit : il sera ainsi vraiment utile à votre projet.
L’abnégation n’est pas bienvenue. Mieux vaut exposer ce qui doit être su, entendu, compris. Au risque prévisible de déplaire. C’est ainsi que le communicant (dircom ou conseiller externe) est une aide précieuse pour le dirigeant et son projet.
Scène ordinaire de travail d’un communicant
Tous les dircom qui écouteront ce podcast auront expérimenté au moins une fois – mais assurément plus souvent- un moment sensible où la pente n’est plus très loin. Vous savez, c’est le moment où il serait si simple de glisser droit dans le piège innocemment tendu (hein ? Tu es d’accord, dis..?) ou il serait si facile d’adopter la bonne vieille stratégie de l’évitement d’un sujet un peu sulfureux.
- Action : Le dirigeant est empli d’une certitude un peu décalée disons, par rapport à la réalité perçue par les publics concernés. Il s’exprime et sort des convictions sincères mais erronées. Question de point de vue car les portes ne sont pas aux mêmes endroits et comme dit le vieil adage « Chacun voit midi à sa porte »…
- Là, le travers serait d’approuver, l’erreur de se taire. Car à ce moment là, il faut dire ce qui déplait. Le dire haut et clair et le justifier. Pourquoi ?
Résister à l’autorité et à la facilité.
Si le public n’est pas intéressé ou a une mauvaise opinion, alors que le dirigeant pense qu’il est conquis parce que deux personnes lui, en ont parlé, il est vital de rectifier. Il faut savoir dire : « vous avez tort » « tu de trompes », « entend ce qu’il se dit réellement ». Et savoir déplaire sans enter dans une relation d’affrontement.
Parce qu’on n’est pas non plus dans un rapport de force pour définir qui a raison. Non, il s’agit de rechercher et de comprendre la situation. Et de travailler ensemble pour être plus précis. le rpole de la cifiance à établir sera alors primordial.